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Le message d'AYONG
Le site « AYONG »" famille, clan ou nation", est un espace de réflexion et d’échanges autour des problématiques économiques, culturelles, sociales, spirituelles, etc. liées au continent africain et au monde des afro-descendants en général.
Cet espace vise à favoriser la réflexion, les échanges, à fédérer les potentialités intellectuelles, faciliter l’accès à l’information, promouvoir et valoriser l’image du « continent africain » en mettant en exergue ses potentialités, son patrimoine culturel, ses richesses, ses talents et sa créativité.
Dr Ricky Nguema Eyi
Sociologue/Anthropologue/Politologue
Spécialiste des médias et des questions de discriminations
Nous vous présenterons donc régulièrement des personnalités africaines ou afro-descendantes dont le parcours professionnel, académique et associatif mérite l’intérêt et peut servir d’exemple pour nos internautes.
Ces personnalités africaines seront invitées à intervenir sur une thématique ou un sujet d’actualité ayant un rapport avec leur secteur d’activité ou leur domaine de compétence. Ainsi, elles pourront partager leurs expériences et leurs expertises avec nos internautes en leur permettant de recueillir des conseils avisés.
Dernières vidéos

Prise de conscience du monde noir
Tous les noirs du monde doivent regarder cette vidéo pour avoir conscience ...arrêter de gaspiller le temps concentrez-vous au développement ...."

Black Wall Street - GRANDEURNOIRE
cagnotte Leetchi pour le documentaire Grandeurnoire: https://www.leetchi.com/c/grandeurnoire article grandeurnoire sur black Wall Street: https://grandeurnoire.wordpress.com/2019/10/25/blackwallstreet/ site: http://www.grandeurnoire.com page IG: https://www.instagram.com/grandeurnoire/ cravate et boucles d'oreilles: Wax Chic Création https://www.facebook.com/waxchicaccessoires/ https://www.instagram.com/wax.chic.creation/ https://wax-chic-creation.afrikrea.com "
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Message de Claude Wilfried Ekanga Ekanga à la jeunesse Africaine
NON NON . JOHN SNOW NE NOUS AIDERA PAS. LE MESSIE NE NOUS AIDERA PAS
La série télévisée <Game Of Thrones> est certainement la plus belle œuvre humaine depuis la peinture de Mona Lisa par Leonardo da Vinci au XVIe siecle .
Dans cet incroyable mélange entre intrigues politiques, assassinats, régicide, trahison, inceste, tous les ingrédients y sont pour vous présenter la vie telle qu'elle est, dans un réalisme d'une froideur implacable.
On peut dire des Américains ce qu'on veut, mais en matière d'écriture de scénario, il sera difficile d'aller les chercher. Dans ce feuilleton atypique au succès planétaire, nul n'est fondamentalement gentil ou fondamentalement méchant. La perfection n'existe pas. Le démon d'hier peut devenir l'ange d'aujourd'hui et inversement. Mais surtout, la mort ne choisit pas qui elle viendra chercher demain.
Vous avez donc beau être le personnage le plus aimable et le plus aimé de la galaxie, vous n'êtes pas à l'abri d'un coup de lance ou d'un empoisonnement le jour d'après ou ce soir même. La mort ne connaît pas la corruption : elle traite tout le monde de manière égale. Les vieux, les jeunes, les femmes, les malades, les sains... Ça ne l'intéresse pas de savoir si quelqu'un vous est proche ou pas. Elle débarque sans votre avis et l'emporte sans s'en excuser . Exactement comme dans la vie réelle en somme.
Pourquoi les Américains sont capables d'écrire d'aussi bons scenarii ? C'est simplement parce qu'ils ont compris comment la réalité fonctionne, et ils l'appliquent tous les jours pour maintenir leur puissance. Quand on a 375 millions de bouches à nourrir et un Produit Intérieur Brut de 19 000 milliards de dollars à conserver, tous les moyens sont bons pour y parvenir. Alors ils tuent, ils complotent, ils rusent. ils mentent, ils poignardent, ils bombardent, ils pillent ... Comme dans leur fameuse série.
En ce XXIe siècle, les Européens sont les élèves des Américains. Ce qui veut dire qu'ils procèdent de la même manière envers les faibles, à savoir sans le moindre scrupule.
Actuellement, c'est selon les mêmes stratagèmes que la France évolue envers ses colonies (Désignées par erreur "ex" colonies). Elle ment, pille, tue, ruse, trompe... et elle prétend ensuite "aider" les "pays pauvres" à se développer. Dans l'absolu, tous ses voisins font pareil, et vous trouvez des Africains qui vous disent : "L'aide au développement est une bonne chose". D'autres poussant l'ivrognerie jusqu'à parler même de "nécessité" .
Lorsque tu te rends à Paris ou à Bruxelles et que tu vois tous ces gens à la Gare du Nord / Gare du Midi qui mendient assis à même le sol, qui passent la nuit sous les ponts sans couverture alors qu'il fait -3 degrés, tu te demandes honnêtement par quel miracle celui qui n'arrive pas à régler ses affaires internes peut réussir à éliminer la pauvreté chez d'autres.
Est-ce de la gentillesse ? Impossible. Elle n'existe pas. Sortez de ces enfantillages et grandissez. Notre bêtise n'a que trop duré.
Par Claude Wilfried Ekanga Ekanga
Invitation à la mutualisation du projet citoyen de la prison de Bollé

Association française loi 1901 2 place Alfred de Musset 76000 Rouen
(+33) 664 934 295 Issamaconsultants@gmail.com
www.issama.com
www.issama.wix.com/issamavideo
Objet : Invitation à la mutualisation du projet citoyen de la prison de Bollé :
« sensibilisation et citoyenneté par rapport à la problématique de l'eau potable
auprès des jeunes d' ici et ailleurs : le cas de la prison de Bollé au Mali » Madame Monsieur,
ISSAMA, association loi 1901, est investie dans l'appui à l’insertion socioprofessionnelle des mineurs de la prison de Bollé au Mali depuis 2011 et dans la sensibilisation à la problématique de l'eau en Afrique et en France, principalement auprès des jeunes mineurs de la protection judiciaire de la jeunesse et d'un public plus large en France.
Nous souhaitons vous recevoir lors de la 6 eme édition du HDRBasket Days qui aura lieu au gymnase Francois Villon rue Henri Dunant, le 13 et 14 juin à partir de 15 heures et profiter de cette événement pendant lequel il y'aura concomitamment aux joutes sportives une sensibilisation à la citoyenneté par rapport à l'eau auprès des jeunes issues de la protection judiciaire de Rouen des jeunes en général et les spectateurs durant ce beau weekend sportif .
Elle verra la participation des bénéficiaires, de journalistes, des collectivités, des élus et bien d’autres.
Le projet est financé par les collectivités haute normande et en fond propre
Le thème sera : « sensibilisation et citoyenneté par rapport a la problématique de l'eau potable auprès des jeunes d' ici et ailleurs : le cas de la prison de Bollé au Mali »
Les animations éducatives consisteront à présenter :
Deux courts web documentaires (diagnostic) réalisés par Moïse Gomis sur la prison de Bollé à Bamako sur initiative d'ISSAMA suivi des questions réponses.
Des quizz sur l'eau auprès des jeunes visiteurs du tournoi de basket
Aux jeunes de la PJJ la couverture médiatique d'un événement sportif majeur et en retirer leur ressenti.
C’est l’occasion pour nous aussi qui accompagnons cette structure de vous la présenter et surtout de construire un partenariat durable avec vous.
Coronavirus Covid-19 - Voici comment les Noirs sont des pièces de rechange pour assurer la longévité des Blancs. L'exemple du Cameroun. de Jean-Paul Pougala
« Quand le peuple sera intelligent, alors seulement le peuple sera souverain. » Victor Hugo
Chaque Blanc que vous rencontrez est prêt de vous jurer la main sur le cœur de combien il aime l’Afrique. J’ai toujours été intrigué par cette déclaration spontanée d’amour, à des gens à qui vous n’avez rien demandé.
Et puis, j’ai commencé à leur rendre la monnaie, avec une certaine réciprocité. Chaque Blanc qui me dit aimer l’Afrique, je lui réponds que moi aussi, j’aime beaucoup l’Europe. Et j’ai constaté une réaction plutôt bizarre des mêmes européens à ma réponse réciproque de déclaration d’amour à l’Europe.
Et j’ai commencé à douter. Et mes doutes se sont transformés en questionnement, en une et même question :
« pourquoi suis-je en vie ? ».
« Pourquoi m’ont-ils laissé vivre ? ».
Ils ont effacé la population australienne, remplacée par des reliques appelées « Aborigènes ». Ils ont mis fin à la population américaine, remplacée par des reliques appelées « amérindiennes ». Mais,
« Pourquoi n’ont-ils pas à ce jour effacé la population Africaine, la population Noire ? »
La réponse à mon questionnement m’a finalement été donnée, un jour de 2008 dans un livre publié aux éditions La Découverte. Ce livre s’appelle :
« Les corps vils »
Sous-titre : « Expérimenter sur les êtres humains aux XVIIIe et XIXe siècles »
de : Grégoire CHAMAYOU
Dans ce livre, j’ai appris que je suis en vie comme africain, parce que je ne suis qu’une « Doublure » du blanc, je ne suis qu’une pièce détachée en attente de servir pour tenir en vie un blanc. Je ne suis qu’un « Corps vil » (corps sans valeur) qui attend de trouver de la valeur dans l’amélioration et l’allongement de la vie d’un Blanc. Je ne suis en vie que parce que mon corps attend que le blanc vienne tester sur moi ses médicaments et ses vaccins devant servir à améliorer sa vie, son monde.
Voici ce qui est écrit en 4ème de couverture sur le livre de Grégoire CHAMAYOU :
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« Écoutez Diderot justifier la vivisection des condamnés à mort, devenus inhumains par leur déchéance civique. Écoutez Pasteur demander à l’empereur du Brésil des corps de détenus pour expérimenter de dangereux remèdes. Écoutez Koch préconiser l’internement des indigènes auxquels il administrait des injections d’arsenic. « On expérimente les remèdes sur des personnes de peu d’importance », disait Furetière en 1690 dans son Dictionnaire universel.
Ce sont les paralytiques, les orphelins, les bagnards, les prostituées, les esclaves, les colonisés, les fous, les détenus, les internés, les condamnés à mort, les « corps vils » qui ont historiquement servi de matériau expérimental à la science médicale moderne. Ce livre raconte cette histoire occultée par les historiens des sciences. Qui supporte en premier lieu les périls de l’innovation ? Qui en récolte les bénéfices ?
À partir de cette question centrale de l’allocation sociale des risques, l’auteur interroge le lien étroit qui s’est établi, dans une logique de sacrifice des plus vulnérables, entre la pratique scientifique moderne, le racisme, le mépris de classe et la dévalorisation de vies qui ne vaudraient pas la peine d’être vécues. Comment, en même temps que se formait la rationalité scientifique, a pu se développer ce qu’il faut bien appeler des « rationalités abominables », chargées de justifier l’injustifiable ?
Cette étude historique des technologies d’avilissement appelle ainsi à la constitution d’une philosophie politique de la pratique scientifique. »
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“Corps vils”, est une locution latine propre au jargon médical : “fiat experimentum in corpore vili”, qui rappelle qu’on a d’abord testé les médicaments sur ces “corps de peu d’importance”, et sans leur demander leur avis. On a toujours fait porter sur les plus pauvres et les prostituées, le risque des essais cliniques, parce que de toutes les façons ils sont naturellement exposés à la mort.
Le médecin ne pouvait porter la responsabilité de la mort des personnes dont la pauvreté leur aurait de toute façon fait courir.
Selon CHAMAYOU , « ces corps-là sont toujours vivants, mais déchus de leur statut social, et c’est depuis cette déchéance-là qu’on les met à disposition pour la recherche. Ils deviennent au fond, profitables pour la médecine quel qu’en soit le prix, parce qu’ils n’ont plus de valeur sociale ».
CHAMAYOU parle de la vaccination qui signifie d'inoculer dans des corps humains, la maladie à titre de test. Kant répondra par exemple qu’on n’a pas le droit de risquer la vie d’une partie de la population pour que l’autre vive. Mais pour de nombreux philosophes des Lumières, le progrès de la science est prioritaire. Pour eux, les tests cliniques sont comme un “droit de guerre”, c’est-à-dire, lorsqu’un pouvoir politique envoie une armée mourir, pour sauver tout un pays. Et c’est comme cela que ces corps-là, qu’on pense d’une valeur sociale inférieure, font ainsi office de “doublures”.
Le 8 avril 2020 sur la radio publique française : France Culture, à 8h:04, il y a une émission intitulée
« Essais cliniques : quand la science recrute ses doublures en Afrique ou chez les pauvres »
par Chloé Leprince
à la rubrique : « Les doublures africaines »
On pouvait entendre ceci :
"En 2015, 658 essais étaient pratiqués en Afrique. (...) Sur place, on n'en est plus aux gigantesques camps coloniaux, où la nouvelle administration coloniale faisait procéder à des tests à grande échelle dans des régions subalternes, qui correspondent aujourd'hui au Sénégal ou au Cameroun. Ces pays sont aujourd'hui indépendants. Mais leur politique sanitaire reste étroitement liée aux anciennes puissances coloniales, ou à leurs industries pharmaceutiques."
(...)
Les essais cliniques ont explosé en Afrique. Même MSF fait désormais des essais sur le sol africain : les premiers essais de l’ONG sur Ebola remontent à 2014 mais dès les années 1990, on trouve dans les archives de Médecins Sans Frontières la trace d’essais liés au paludisme, avec par exemple cette explication :
« Face à l’absence de données, Médecins sans frontières (MSF) a mis en place des études cliniques afin de mesurer l’efficacité des antipaludéens et d’adapter les traitements au sein de ses missions. Entre 1996 et 2004, plus de 12 000 patients furent inclus dans 43 études réalisées dans 18 pays d’Asie et d’Afrique ».
(...)
Ce qu’on appelle “la médecine des preuves” est née, et elle implique des tests à grande échelle... et donc, des corps. La conquête coloniale viendra suppléer au manque de corps à cette échelle, et fournir une nouvelle catégorie de “doublures”. C’est dans cette histoire-là que s’enracine la réaction du médecin sur LCI : aujourd’hui, des essais sont encore pratiqués en grand nombre dans les pays en voie de développement, et notamment en Afrique. »
QUESTIONS SANS REPONSE
Pourquoi l’Afrique qui est le berceau de l’humanité avec une superficie de 30 millions de km2 n’a que 1 milliard d’habitants ?
Comment les Noirs qui sont les géniteurs du monde sont-ils moins nombreux que les indiens ? que les Chinois ? qui n’en sont que des dérivés ?
N'est-ce pas parce que le Grand Génocide des Noirs est déjà en cours depuis le 15ème siècle ?
Pourquoi tous les dirigeants européens ont une anxiété déconcertante sur la probable augmentation qu’ils prédisent exponentielle de la population africaine ? Est-ce la réponse au fait que quelque chose n’a pas fonctionné comme prévu dans ce génocide programmé sur le long terme ?
Les Blancs se sont déjà fait appeler « Africains » (Afrikaners) en Afrique du Sud et leur langue, un dialecte hollandais (Boers), appelée « l’Africain » même par Bill Gates dans son Windows et son fameux Word.
N’est-ce pas la preuve que dès le début ils avaient programmé la disparition lente mais certaine des Noirs du continent africain ?
2 questions venant de ce livre doivent selon moi, être enseignées partout en Afrique :
1) Qui supporte en premier lieu les périls de l’innovation ?
Réponse : les Noirs
2) Qui en récolte les bénéfices ? Réponse : Les Blancs
Comment les Blancs font-ils payer aux Noirs les périls de l’innovation, pour en récolter les bénéfices ?
Dans la première des 3 parties de cette leçon, je vous ai rappelé l’une des 2 défenses des médecins nazis à Nuremberg en 1946, qui disent qu’ils ont fait exactement ce qu’autorise la loi américaine, de tester les médicaments sur les prisonniers.
Mais comment font-ils pour remplir les prisons américaines des Noirs-Américains, sur qui, en prison, on va effectuer les essais cliniques au profit des laboratoires pharmaceutiques ?
«Race et erreurs judiciaires aux États-Unis»
Mardi le 7 mars 2017 on a la publication du National Registry of Exonerations compilée par l'université du Michigan, avec le titre :
«Race et erreurs judiciaires aux États-Unis» et sous-titre : « Aux États-Unis, la moitié des emprisonnés à tort sont des Afro-Américains »
expliquant pourquoi les noirs qui ne sont que 13% de la population américaine, représente 47% des erreurs judiciaires.
Voici ce que Samuel Gross, l'auteur du rapport écrit :
"Les Noirs représentent 13% de la population américaine, mais comptent pour 47% des 2000 déclarations d'innocence après des erreurs judiciaires depuis 1989.
En moyenne, ils ont chacun perdu plus de 8 années de leur vie en prison pour un crime qu'ils n'ont pas commis. Victimes des stéréotypes, les Afro-Américains innocents ont 12 fois plus de risques d'être injustement condamnés dans une affaire de stupéfiants que les Blancs innocents ; et les premiers ont sept fois plus de risques d'être injustement condamnés pour meurtre que les seconds."
(...)
« Nous avons connaissance de près de 1700 cas de déclarations d'innocence groupées visant des ensembles de personnes qui ont été majoritairement piégées dans des affaires de stupéfiants » (…) « La plupart de ces accusés sont des Afro-Américains. Nous estimons qu'il en existe bien davantage dont nous n'avons pas connaissance, mais il nous est impossible de savoir combien. »
(...)
« De façon paradoxale, de nombreux Noirs qui devraient n'avoir rien à se reprocher, en viennent à plaider coupable de faits qu'ils n'ont pas commis, effrayés à l'idée d'écoper d'une peine plus sévère devant un jury. Ils se retrouvent avec des peines de plusieurs années de réclusion. »
« Déclaré innocent en 2016 et libéré après huit ans derrière les barreaux, Davontae Sanford avait avoué en 2008 aux policiers de Detroit son implication dans pas moins de quatre meurtres et une tentative de meurtre. Il n'avait alors que 14 ans. Un mois seulement après sa condamnation, le vrai meurtrier - un tueur à gages - avait pourtant avoué les crimes, fourni l'arme utilisée et dédouané Sanford ».
« Les Noirs innocentés pour meurtre passent en moyenne trois années supplémentaires en prison que les Blancs innocentés pour meurtre. Et le délai est de quatre années supplémentaires pour ceux condamnés à la peine de mort », « Beaucoup des condamnations d'Afro-Américains innocentés pour meurtre ont été influencées par une vaste gamme de discriminations raciales, qui vont du préjugé inconscient au racisme explicite, en passant par la discrimination institutionnelle ».
Pour ce qui est des agressions sexuelles, « les méprises d'identification par les témoins » n'expliquaient «pas totalement» les erreurs judiciaires touchant de façon disproportionnée les Noirs. Là aussi, des préjugés racistes plus ou moins déclarés sont à l'œuvre ».
« Migrant originaire de Trinité-et-Tobago, Ulysses Charles a été formellement identifié par trois femmes victimes de viols à Boston en 1980. Condamné quatre ans plus tard, il est finalement mis hors de cause en 2001 grâce aux analyses ADN. Cet innocent aura passé 20 ans en prison pour rien. »
Comment en est-on arrivé là ?
Dans les années 70, les documents déclassifiés du FBI, le service secret interne des Etats-Unis d’Amérique révèlent que le gouvernement américain, pour casser la dynamique des Black Panthers, a rendu la drogue disponible à un prix modique dans les ghettos Noirs. Comme en Afrique du Sud, en Australie et au Cameroun, l’alcool a coulé à flot à un prix dérisoire, alors qu’il était lourdement taxé pour les Blancs.
Une fois que ces Noirs sont devenus accros, il a suffi de faire une loi pour criminaliser la possession même d’une quantité modique de drogue. Et là, on était certain d’avoir autant de cobayes des essais cliniques Noirs dans les prisons à disposition des industriels pharmaceutiques américains. Et lors que cela ne suffisait pas, c’est en Afrique qu’on allait les trouver.
L’AFRIQUE, LABORATOIRE PHARMACEUTIQUE DE L’OCCIDENT : LE CAS DU CAMEROUN !
Le 28 mai 2014, j’ai une séance de travail avec le Premier Ministre du Cameroun, pour lui présenter le modèle Rinvindaf du développement du pays à travers la création des richesses en zone rurales. Je me suis fait accompagner par les Représentants des collectifs du Rinvindaf de Paris, Bruxelles et Douala.
La rencontre est prévue pour durer 30 minutes. Mais elle durera 2 heures. C’était une rencontre inoubliable de forte tension à cause des divergences avec le Premier Ministre sur pratiquement tous les sujets.
Le Premier Ministre qui a passé une vingtaine d’années comme ambassadeur au Canada, était convaincu que les Blancs sont gentils et qu’ils nous aident.
Tout s’est gâté lorsqu’il a parlé pour justifier sa position de l’aide que reçoit le Cameroun de la Fondation Bill Gates pour fournir gratuitement les vaccins aux enfants du Cameroun. Je n’arrivais pas à lui faire comprendre que cela n’était pas de l’aide, mais une technique pour baisser leurs défenses avant les essais cliniques qu’ils ont du mal à réaliser aux Etats-Unis.
J’étais obligé de lui donner un exemple pratique pour qu’il comprenne, en lui posant la question : « C’est le Cameroun qui a demandé l’aide de Bill Gates en lui précisant qu’on voulait les vaccinations ou c’est lui qui s’est proposé ? ». Réponse, c’est la Fondation Bill Gates qui a proposé. Et moi de proposer :
« Demandez-lui d’arrêter de vous financer les vaccins, et de concéder la licence gratuite pour l’utilisation des Windows du logiciel Office par l’administration camerounaise, les universités et les écoles. Ainsi, avec l’argent économisé, vous pourrez acheter les vaccins que vous désirez et où vous voulez ».
La rencontre s’était terminée plus cordialement qu’elle n’avait commencé. Et j’avais l’impression d’avoir marqué des points, puisqu’une nouvelle rencontre sera programmée quelque temps après.
POURQUOI JE METTAIS EN GARDE LE PREMIER MINISTRE DU CAMEROUN ?
Que reproche t’on le plus au professeur Raoult de Marseille au sujet de ses tests du Covid-19 sur 1000 patients de son hôpital avec la chloroquine ?
Il lui reproche de ne pas avoir respecté la procédure du test parallèle avec du placebo.
Qu’est-ce que cela signifie ?
Cela veut dire que pour savoir qu’un médicament est efficace, il faut le tester sur un certain nombre de cobayes, mais en même temps, tester un faux médicament fait uniquement de poudre de manioc, sur le même nombre de patients à qui on va faire croire que cette poudre blanche est le médicament qu’on prétend utiliser pour le soigner.
En d’autres termes, on doit faire le choix de sacrifier le même nombre de patients, à qui on donne un faux médicament, pour ensuite comparer leur taux de guérison à celui du premier groupe à qui on a administré le vrai médicament. Si les deux résultats sont très différents, c’est là où on peut apporter la preuve que le médicament a un effet positif sur les malades.
Mais il arrive aussi souvent qu’on promette aux personnes bien en santé qu’en utilisant un certain médicament, elles sont immunisées contre une certaine maladie. Alors qu’on n’en est pas certain. Et ce n’est qu’après qu’on va observer si ces personnes qu’on a trompées seront malades ou non.
En tout cas, c’est ce qui s’est passé en 1997, au Cameroun.
La National Institutes of Health (NIH) est une institution gouvernementale des États-Unis d'Amérique qui s'occupe de la recherche médicale et biomédicale.
Elle dépend du Département de la Santé et des Services sociaux des États-Unis.
La direction principale de la NIH se trouve à Bethesda dans le Maryland, proche de Washington DC.
Avec un effectif d'environ 20.000 salariés, la NIH a un budget de 30 milliards de dollars.
La FHI, Family Health International est une ONG américaine fondée en 1971. Avec ses 4.000 employés, elle se définit dans son site de Cote d'Ivoire, comme :
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"L'une des plus grandes organisations à but non lucratif les plus grandes et les mieux établies dans le domaine de la santé publique internationale. Nous dirigeons des études de recherche et des activités sur le terrain dans plus de 70 pays afin de répondre aux besoins de santé de certains des habitants les plus vulnérables de la planète".
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Au Cameroun, l’Organisation est enregistrée avec un nom aussi anodin que rassurant : « Care and Health Program »
En 1995, l'Institution gouvernementale NIH, finance l'Organisation non gouvernementale FHI, pour mener au Cameroun des essais sur 941 femmes camerounaises dans 2 villes du Cameroun, à Douala et à Yaoundé.
La NIH veut savoir si la pommade qu'elle veut mettre sur le marché, peut permettre de faire des rapports sexuels non protégés et n'attraper aucune maladie sexuellement transmissible comme le sida.
L'ONG FHI a divisé les femmes en deux groupes. Au premier groupe de femmes, on a donné la vraie pommade en expliquant à ces femmes qu'elles ne risquent aucune maladie, si elles ont des rapports non protégés avec n'importe qui.
Au deuxième groupe, on a donné une fausse pommade, avec à l'intérieur de la pure margarine, mais on a tenu à ces femmes le même discours. Et pendant 2 ans, on a observé le niveau de contagion au VIH.
Et c'est le 10 avril 1997 que l'Agence France Presse, titre sa dépêche ainsi : "Spermicide inutile" et voici l'intitulé de son communiqué :
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WASHINGTON, 10 Avril (AFP). – L’utilisation d’un spermicide classique appliqué sous forme de film protecteur ne permet pas d’empêcher la transmission du virus du Sida (VIH) ou de certaines maladies vénériennes chez les femmes, indique une étude rendue publique par l’Institut national de la santé (NIH) de Bethesda (Maryland).
Pour cette étude réalisée au Cameroun conjointement par le NIH et l’association Family Health International (FHI), les chercheurs ont suivi pendant deux ans 941 femmes de deux villes camerounaises auxquelles ils ont distribué des préservatifs et des films contraceptifs à utiliser avant tout rapport sexuel.
Certains de ces films, à appliquer à l’intérieur du vagin, contenaient un spermicide couramment utilisé, le nonoxynol-9 (N-9), les autres étaient enduits d’un produit placebo.
Selon les résultats préliminaires rendus publics par le NIH, le taux global de transmission du virus du Sida observé à l’issue des deux ans d’étude à atteint 6,7%. Ce taux a été identique chez les femmes utilisant le spermicide et chez celles utilisant le placebo, indiquent les auteurs de l’étude.
Ce film protecteur enduit de spermicide N-9 s’est également révélé inefficace contre des maladies vénériennes telles que la blennorragie et la chlamydia, ajoutent-ils.
« Nous espérions que le film N-9 pourrait accroître les options à la disposition des femmes pour se protéger contre le Sida et les MST, a indiqué le vice-président de la FHI, Willard Cates. Ces résultats prouvent que nous devons accélérer nos programmes destinés à mettre au point des nouvelles techniques pour les femmes ».
« Nous sommes encouragés par l’apparente efficacité de notre programme global incluant l’information, le traitement des MST et l’encouragement à l’utilisation des préservatifs », a pour sa part souligné le Dr. Rodney Hoff, du NIH.
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Excusez-nous, on s'est trompés. Et celles qui ont contracté le VIH ?
Désolés, circulez, il n'y a rien à faire !
Les auteurs promettent même de continuer encore plus leurs essais sur les femmes camerounaises.
En effet en 2005, la même ONG FHI à travers sa filiales camerounaise ; « Care and Health Program » va encore faire parler d'elle, toujours au Cameroun.
Cette fois-ci, ses essais sur 400 camerounaises de la partie francophone du pays (précise son communiqué) sont faits pour le compte du laboratoire américain Gilead Sciences, et financés par le gouvernement américain et par la Fondation Bill et Melinda Gates.
Ses nouveaux essais cliniques regardent le médicament Tenofovir, un antiviral utilisé contre le sida.
Cette fois-ci en quoi consistait l'arnaque ?
De juillet 2004 à janvier 2005, FHI choisit 400 camerounaises francophones à qui on donne de la documentation plutôt en anglais, et les convainc aux essais en leur disant qu'elles seront injectées d'un nouveau vaccin contre le sida.
Et bien entendu toutes étaient très contentes d'être immunisées contre le mal du siècle. Au premier groupe, on va injecter le Tenofovir et au deuxième groupe, on va injecter juste de l'eau, un placebo. Mais on leur fera croire qu'elles sont immunisées contre le sida. Et c'est comme cela que presque toutes ces femmes qui se lancent dans des rapports non protégés vont contracter le sida. Elles vont donc se plaindre et le scandale va éclater. C'est en ce moment qu'interviennent les autorités camerounaises pour mettre fin aux essais. Aux victimes ne restera que leurs yeux pour pleurer et le slogan resté célèbre : "Ténofovir me fait vomir".
Mais pourquoi le gouvernement américain et la Fondation Bill et Melinda Gates peuvent-ils s’associer pour financer une ONG américaine à hauteur de 12 millions de dollars, dont 6,5 millions de dollars de Bill et Melinda Gates et 5,5 millions de dollars de la part du gouvernement américain, pour tester un médicament au Cameroun pour le compte d’un laboratoire américain ? Pourquoi cela était-il si important ?
Pour le savoir, allons voir ce que ce laboratoire écrit sur son propre site web. Et voici ce qui est écrit :
« Gilead Sciences est un laboratoire biopharmaceutique qui crée, développe et commercialise des traitements innovants pour répondre à des besoins médicaux non satisfaits. La mission de Gilead est de faire progresser la prise en charge des patients atteints de maladies engageant le pronostic vital. Basé à Foster City, en Californie, Gilead est présent dans plus de 30 pays dans le monde.
C’est en 1996 que Gilead a débuté son combat contre le VIH avec l’arrivée d’une première thérapie permettant de contrôler le virus. À cette époque, la prise en charge était complexe et impliquait la prise de 30 comprimés par jour et un régime très spécifique.
Près de 10 ans plus tard, en 2007, Gilead révolutionne la prise en charge du VIH en proposant pour la première fois une trithérapie à comprimé unique à base de TDF (fumarate de ténofovir disoproxil, première prodrogue du ténofovir). Ces comprimés « tout en un » permettent ainsi une simplification du traitement, favorisant une meilleure observance et donc un soutien à l’efficacité sur le long cours.
Grâce aux traitements antirétroviraux, l’infection est devenue une maladie chronique avec laquelle les personnes atteintes doivent apprendre à vivre. Dès lors, la question du “comment vivre et vieillir avec le VIH” prend une acuité toute particulière d’où l’importance de continuer à innover dans ce domaine. »
Il est clair, de 2004 à 2005, les essais cliniques abusifs sans éthique, mais pas clandestins, faits par FHI sur 400 victimes camerounaises ont permis de passer de 30 comprimés à prendre chaque jour contre le VIH à une trithérapie en un seul comprimé, le Ténofovir.
Tout cela, nous l’apprenons grâce au reportage de « Complément d’enquête » sur la principale chaine de télévision publique française, France 2, du 17 janvier 2005. Les promoteurs, FHI et les laboratoires Gilead y étaient accusés d’avoir utilisé comme « cobayes » 400 filles camerounaises naïves, au mépris de leurs droits, tandis que les autorités camerounaises ont fermé les deux yeux et ont laissé l’ONG américaine faire tout ce qu’elle voulait de ses victimes.
Le ministre de la Santé, Urbain Olanguena, s’était alors justifié au quotidien gouvernemental « Cameroon Tribune » ainsi : « Il n’y a pas de problème éthique, il faut bien séparer les questions éthiques des questions humanitaires, il faut éviter l’amalgame. Au plan humanitaire, il est tout à fait normal que les personnes enrôlées dans l’étude soient totalement prises en charge, s’il s’avérait que pendant cette étude elles sont séroconverties. Et même si cela n’est pas une exigence éthique, le ministre de la Santé a donné à l’équipe de recherche et aux institutions qui appuient cette étude la prescription de prendre en charge ces personnes… » (…) « il n’y a pas de relation de cause à effet entre l’étude et l’infection à VIH des volontaires »
Après l'émission de France 2, le Ministre camerounais est obligé de préciser :
« Un audit du projet est en cours aux fins de vérifier le strict respect des prescriptions contenues dans le protocole d’expérimentation ».
Et le même ministre de publier un autre communiqué quelques semaines plus tard disant ceci :
« L'audit ayant constaté des manquements et des dysfonctionnements, le ministre de la santé, Urbain Olanguena a décidé de suspendre l’essai. La suspension demeurera effective jusqu’à ce que « les engagements pris dans le protocole soient rigoureusement respectés ».
Les mêmes essais étaient prévus pour être réalisés en même temps sur les jeunes filles d’autres pays comme le Nigeria, le Ghana et le Cambodge. Alors que le Nigeria et le Ghana vont faire comme le Cameroun et d’accepter les miettes pour sacrifier leurs populations, les intellectuels cambodgiens, après un grand débat dans tout le pays, ont décliné l’offre et refusé l’argent des généreux Bill et Minda Gates et du gouvernement américain. Tout cela va culminer le 11 août 2004, lorsqu’officiellement, par décret, le Cambodge interdit l’essai du Tenofovir sur son territoire.
Quelle différence y’a t’il entre le Cameroun et le Cambodge, deux pays colonisés par la France ?
Le Cambodge c’est 181 035 km2 et 16 204 486 d’habitants.
Contrairement au Cameroun, à son indépendance de la France le 9 novembre 1953, le Cambodge coupe le cordon ombilical colonial qui le liait à la France en remplaçant 2 choses principales : le français par une des 20 langues locales, le « Khmer ». Le catholicisme français est immédiatement replacé par le « Bouddhisme Theravāda », déclarée religion d'État.
Voilà comment un pays qui est même plus pauvre que le Cameroun est paradoxalement plus digne et fier de lui-même, pour refuser de servir de cobaye aux essais cliniques américains.
Mais comment l’ONG américaine installée à Douala dirigée par un camerounais Alexis Boupdaavec une enveloppe de 800.000 dollars, faisait-elle pour aguicher ses victimes ?
C’est encore « Complément d’Enquête » qui nous donne la réponse :
« ‘Care and Health Program’ proposait un comprimé de Viread (nom commercial du Tenofovir) gratuit, par jour et, une fois par mois, un rendez-vous avec les médecins au cours duquel les filles ont droit à des bilans gynécologiques gratuits, et un examen complet gratuit. C’est le suivi médical gratuit qui semble avoir convaincu beaucoup de ces jeunes filles. En effet, selon « Complément d’Enquête », qui cite les propos de l’une des victimes : ‘ces prestations sont généralement au-dessus de nos moyens. Une visite médicale complète coûterait 30 000 F CFA’ ».
Et c’est le responsable camerounais de « Care and Health Program » qui s’étonne de degré de naïveté des victimes en ces mots :
« Moi-même, je suis surpris de la naïveté de ces filles qui ne comprennent rien à rien ».
Aux Etats-Unis, les Noirs Américains sont en nombre et en proportion ceux qui sont en ce moment en train de mourir le plus du Covid-19, parce qu’ils accumulent des pathologies qui sont restées pendant des années non soignées, par manque d’argent. Ils sont obèses parce qu’ils sont pauvres. Beaucoup parmi eux, n’ont jamais rencontré un médecin, par manque d’argent.
Pour quelle raison les ONG américaines, les bienfaiteurs américains doivent abandonner leurs citoyens Noirs américains, pour aller jusqu’au Cameroun aider des illettrés qu’ils ne connaissent pas ? Il faut être doublement naïf pour croire que ces ONG laissent les citoyens américains sans aide sanitaire, pour venir s’occuper des africains et tout cela, gratuitement.
En ce moment, en Italie, en France, en Espagne en grande souffrance, où sont passées toutes les ONG qui se sont spécialisées dans l’aide sanitaire aux africains depuis des années ? Aiment-ils les africains plus que leurs propres peuples qui meurent en ce moment au rythme de 1000 par jour et par pays ?
2ème CONCLUSION PARTIELLE
Au dernier jour de la formation des industriels africains Rinvindaf, durant le module dédié à « Comment Gagner de l’argent avec la Santé », je rappelle à nos jeunes apprenants que personne ne peut aider les africains dans leurs problèmes de santé publique sauf nous-mêmes. 90% des médicaments qui servent le plus à nos populations en Afrique sont déjà dans le domaine publique, de la cardiologie, à la neurologie en passant par le diabète et la gastrite, et n’importe qui peut les reproduire à volonté.
La Chine fournit plus de 80% des principes actifs de tous les médicaments dans le monde. Il ne nous reste plus qu’à utiliser notre manioc comme excipient. Nous devons valoriser la pharmacopée traditionnelle pour la soustraire de l’angle de marginalité où elle est confinée, pour n’être plus un simple folklore aux mains des charlatans. La forêt camerounaise, congolaise, centrafricaine et gabonaise sont pleines des plantes médicinales reconnues par la communauté scientifique.
Notamment, le quinquina qui donne la quinine, les écorces du saule qui permet de fabriquer l’Aspirine et les feuilles fournissent la vitamine C à l’industrie pharmaceutique. Nous possédons inexploitées dans nos forêts, de nombreuses plantes anti-infectieuses, anti-inflammatoires ou diurétiques que nous pouvons transformer pour utiliser contre le rhumatisme, l’hypertension ou les insuffisances cardiaques.
Lorsque des médecins africains passent leur temps à demander aux patients d’aller prier, c’est le comble de l’idiotie. On comprend mieux pourquoi les médecins cambodgiens, qui ont renoncé au catholicisme pour rester dans leur religion pratiquée avant la colonisation, sont de loin plus cohérents et plus réfléchis que les médecins hybrides africains qui passent leur temps à publier les prières du jours extraites de la bible ou du coran.
Dans ces conditions, il est risqué de faire confiance et de donner les pleins pouvoirs à un médecin africain pour aller nous représenter quelque part. Parce que sur le plan culturel, il est nul et n’a aucune idée de la guerre idéologique que les industries pharmaceutiques occidentales livrent à l’Afrique pour créer une psychose généralisée, afin de créer un terreau facile pour ensuite réaliser leurs essais cliniques.
Pourquoi sinon, on peut avoir des milliers de morts quotidiens dans les pays européens, mais au lieu de se préoccuper de sortir de cette urgence sanitaire, tous font semblant de se préoccuper plus de la santé des africains au point de leur prédire un vaccin bientôt ? Ils cherchent les doublures africaines pour leur servir de pièces de rechange.
Il est facile de prévoir aujourd’hui que l’Afrique ne connaitra pas la catastrophe sanitaire au Coronavirus espérée et annoncée par les prédateurs et bourreau de notre continent. J’expliquerai les raisons dans la troisième partie. Mais d’ici là, suivez les instructions et restez confinés.
Notre plus grande victoire partielle sera que nous soyons nombreux à rester en vie à la fin de cette pandémie, afin de démentir tous les prophètes de mauvaises nouvelles contre l’Afrique. C’est pour cela que c’est un devoir pour chacun de nous là où il est de faire tout le possible afin que pour une fois, l’Afrique ne soit plus le continent des maladies bizarres, mais celui de la santé.
Il me plais de conclure cette deuxième partie avec 2 citations :
« On ne libère pas un peuple, un peuple se libère lui-même. Tant qu'il s'érige des images de sa liberté, il se crée de nouvelles chaînes. »
Louis Gauthier
« La manipulation consciente, intelligente, des opinions et des habitudes organisées des masses joue un rôle important dans une société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme social imperceptible forment un gouvernement invisible qui dirige véritablement le pays ».
Edward Bernays dans « Propaganda » p.31
Jean-Paul Pougala
(Ex-Enfant de rue à 11 ans à Nkongsamba)
St Petersburg le 13 Avril 2020
Date de dernière mise à jour : 20/12/2020
Derniers commentaires
Ils sont en effet incroyable ces gens, c’est facile de détruire ils ont anéanti en 9 mois 40 ans de dure ...
LOL après avoir mis le pays à feu et à sang, ils viennent jouer les pompiers pyromanes, mais quelle ...
cc
Merci pour la recette