Le Shemsu Maât Grégoire Biyogo, Continuateur du savant africain Cheikh Anta Diop

 

Gregoire biyogo

Le nouveau savant africain est le continuateur du savant sénégalais Professeur Cheikh Anta Diop. Il a écrit 45 livres et 39 préfaces, il vient du Gabon.

I- PARCOURS DU LAUREAT

« Fondateur et Directeur de l’Institut Cheikh Anta Diop (ICAD), enseignant à l’université de Libreville… Grégoire Biyogo a plus d’une casquette. Auteur prolifique, il a écrit une trentaine d’ouvrages traitant de sujets divers et variés, dont Encyclopédie du Mvett, publiée en 2002 aux éditions Menaibuc, ou Adieu à Jacques Derrida, paru en 2005 chez L’Harmattan ».
Ainsi écrivait le Magazine « Jeune Afrique » il y a quelques années à propos du Professeur Grégoire Biyogo, le philosophe et l’égyptologue, dans sa présentation des 50 personnalités les plus influentes du Gabon parmi les décideurs politiques et économiques, leaders de la société civile, intellectuels et figures du monde de la culture…
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Le Professeur Grégoire Biyogo dans l’une de ses envolées lyriques.
 
Grégoire Biyogo est égyptologue, historien de la philosophie, politologue, poéticien et écrivain africain, né à Oyem au Gabon. Récemment à Bruxelles, il a été l’un des récipiendaires pour toute son œuvre et sa carrière du Prix International Cheikh Anta Diopen même temps que le Professeur Mufuta Kabemba du Kongo démocratique, au Colloque et au Salon Panafricain du Livre de Bruxelles qui a eu lieu au tout début d’octobre 2014 (4, 3 et 5), où ils ont tous les deux été reconnus savants par 12 Universités. Cet éternel major a d’abord été formé à l’Université de Libreville puis à l’Université Paris-IV, où il arrive en 1984. Nanti de plusieurs diplômes : DEA de Lettres en juin 1985 (Paris IV), DEA de Philosophie en juin 1986 (Paris I), Docteur en poétique et épistémologie des sciences Humaines en 1990, Diplôme de Science Po en juin 1991… HDR en 2004 à Paris XII en épistémologie des sciences Humaines…
Grégoire Biyogo aime à citer cinq « maîtres à penser » qui ont inspiré son œuvre : Cheikh Anta Diop (savant africain, fondateur des Antiquités et de l’historiographie africaines et théoricien de la parenté de l’ancien égyptien et des langues négro-africaines)), Tsira Ndong Ndoutoume (érudit Ekang dans le cadre du Mvett), Karl Popper (épistémologue, père du falsificationnisme), Richard Rorty (philosophe américain, père du néopragmatisme) et Jacques Derrida (père de la grammatologie et de la pensée de la différence).
Au contact de ses maîtres, l’éminentissime Professeur a lui-même élaboré 9 discours inauguraux à la suite d’un grand défi idéel, qui constituent sa contribution à l’histoire mondiale du savoir : la « Mvettologie » (1), l’« épistémologie de l’égyptologie » (2), la « philosophie des sciences politiques et des relations internationales » (3), la « poématique de l’inapprochable sur fond derridiano-rortyen » (4), l’« axiomatique quinaire en méthodologie » (5), l’épistémologie des désaccords (5), l’histoire de la philosophie africaine et la philosophie de l’histoire de la philosophie (6), le cogito de la survie et la philosophie du revenir ou de la revenance (7), le continuum consonantique et la coappartenance philologique des langues africaines et de l’égyptien ancien (8) et les poétiques de la dé-conjugaison verbale (9).
Fondateur de l’Institut Cheikh Anta Diop, Directeur de collections aux Editions L’Harmattan (2005-2011), il a fondé sa propre maison d’édition depuis 2012 au nom résolument évocateur : « Les Editions Imhotep », laquelle maison d’édition organise depuis quelques années déjà le « Salon International du Livre Panafricain ». Il a été acteur et consultant du Film « Au Commencement était le Verbe »…
Lauréat de la Sorbonne, chercheur au Laboratoire de Logique de Paris VIII, Président de l’Université Panafricaine de la Renaissance (Per Ankh), continuateur de l’œuvre du savant africain Cheikh Anta Diop, théoricien de la coappartenance des Ekang et des Egyptiens anciens, Grégoire Biyogo travaille ainsi à faire rencontrer périodiquement l’Afrique et sa Diaspora et le reste du monde…

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Rouleau de papyrus offert au savant Gabonais, Grégoire Biyogo pour avoir produit 45 livres et 9 théories originales.
 
Créé en 2011 à Paris, le Salon International du Livre Panafricain représente l’un des événements culturels et intellectuels les plus prestigieux de notre époque, dont le dessein est de déceler, de rassembler et de promouvoir les représentants les plus éminents de la vie littéraire, culturelle et intellectuelle du continent africain et de sa diaspora.
Le nouveau savant africain d’origine gabonaise a écrit à ce jour une quarantaine d’ouvrages, et quarante préfaces que nous présentons en Annexes. A cela, s’ajoute une trentaine de préfaces. L’ensemble de son œuvre a reçu Le Prix International de la Pléiade. Directeur de thèses, il a écrit plusieurs thèses (Doctorat et HDR). Il vit actuellement en France avec son épouse Nadine Biyogo et ses quatre enfants. Il est professeur d’épistémologie des sciences humaines et de poétique à l’Université Omar Bongo de Libreville et de la méthodologie de la recherche au séminaire doctoral du CEE de Paris XII.

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  « Remise du Prix International Cheikh Anta Diop aux deux récipiendaires de la Cérémonie ». PR. MUFUTA KABEMBA ET PR. GREGOIRE BIYOGO.
 
« Grégoire Biyogo est mon mentor depuis que je l’ai rencontré. Et notre relation est née du fait que nous avions travaillé, chacun de son côté sans le savoir, sur le sens originaire des mots de l’égyptien ancien et nous sommes parvenus aux mêmes conclusions. Hormis l’égyptologue, le poéticien et l’homme tout court m’inspire…Grégoire Biyogo est tout simplement un grand homme ».
Ecrit l’écrivain, essayiste et journaliste béninois, Marcus Boni Teiga, dont on sait combien il ne tarit point d’éloges vis-à-vis du Shemsu Maât. Cet antiquisant et nubiologue (Ndlr : spécialiste des études nubiennes) a adhéré à son Ecole dès leur première rencontre. Non seulement parce qu’ils ont fait des recherches sur les mêmes sujets de l’Egypte et de la Nubie antiques, mais plus encore parce que le discours du Shemsu Maât Grégoire Biyogo correspond tout à fait à la philosophie ancienne des peuples Noirs et se place aux antipodes des tendances et prétentions racistes de certains courants qui prétendent défendre les peuples Noirs. Ce qui n’empêche aucunement pas de dire la vérité historique au monde entier. Ainsi dans son ouvrage intitulé Dictionnaire comparé Egyptien /Fang-Beti, l’égyptologue Grégoire Biyogo écrit par exemple : « il faudrait donc que ce discours égyptologique, pour gager le nouveau tournant appelé par cette recherche, se réconciliât avec l’exigence philologique, logique et aporétique de la philologie comparée, réparant ainsi l’amputation du contenu philosophique infligée aux mots et aux choses d’Afrique et d’Egypte, à travers des opérations téméraires et répétées de sur interprétations, et des appropriations pour le moins inadéquates, qui sont apparues comme des déviations suspectes, heurtées, arrimées tantôt au prisme de la pensée grecque, tantôt à la courbe d’esprit du christianisme, ou à celle de l’islam, lors même que toutes ces Religions, et toutes ces pensées, à bien regarder, procèdent de loin en loin, de l’ancienne Egypte elle-même. D’où la nécessité de revenir à l’Egypte ré-africanisée, en vue de rendre compte de ce qu’elle a été, de ce qui en elle a été oublié, sans médiation, sans intermédiaire, pour tirer profit de ce qu’elle peut encore nous permettre d’être, autrement dit ce qu’elle porte puissamment comme message philosophique universel ».
Derrière cet homme qui semble éternellement se cacher sous son fameux chapeau, le savoir le dispute à l’humilité. Tout ce qui fait un grand homme, celui auxquels ses doctorants, chercheurs, collègues et pairs savants ont consacré récemment un grand livre, à l’occasion de son Prix International Cheikh Anta Diop et de de sa reconnaissance comme savant : Mélanges offerts au professeur Grégoire Biyogo. Paris, Imhotep, 2014, 550p.
 

II-APPRECIATIONS SUR L’ŒUVRE DU SAVANT GABONAIS

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De gauche à droite, le Professeur Kalamba Nsapo, le Shemsu Maât Grégoire Biyogo (au milieu) et le Professeur Bilolo Mubabinge.
 
Pour le Professeur Kalamba Nsapo : « A ce Docteur de la Sorbonne, Habilité à diriger des thèses de Paris XII, égyptologue et philosophe originaire du Gabon, doublé d’un méthodologue et d’un philologue, Spécialiste de Derrida et de Rorty, de Diop, auquel il a consacré trois livres, Fondateur de l’Institut C.A. Diop au sein de l’Université Omar Bongo et de l’Université Panafricaine Le Per Ankh de la Renaissance en France, il nous revient de reconnaître la portée de son histoire de la philosophie africaine (en 4 volumes) qu’il inaugure et fait débuter avec la Nubie. On lui doit aussi un Dictionnaire Egyptien/ Fang-Beti qui développe la thèse de la coappartenance Kémit-Ekang. Tout comme nous lui devons une œuvre importante (avec une quarantaine d’ouvrages et une trentaine de préfaces) ».
Quant au Professeur bergsonien Kenmogne : « sur le pan bachelardo-poppérien, là où Bachelard et Popper voyaient la vertu de la rectification et de l’erreur, Biyogo endosse cela et le prolonge à travers la « revenance » des désaccords, par un mouvement où les désaccords lui paraissent plus importants que les accords faciles, en ce que ceux-ci éteignent l’interrogativité, et rusent… La Méthodepermet alors de réintroduire le corrélat philosophie/science, recherche/science, par la préconisation de la modélisation quinaire, sous condition de la géométrie. Il s’ensuit par conséquent le ferme rejet du mono-méthodologisme, par une pensée d’abord favorable aux approches systémiques, holistiques, à l’exigence d’une science où la Totalité se redécouvre. L’autre rejet touche à l’hyper-spécialité, les épistémologies régionales, chez un penseur qui opte toujours d’abord pour la transversalité du Tout qui traverse le Cercle, le Monisme et puise dans la figure du pentagone. »
Le philosophe Auguste Makaya : « On avait connu de lui l’égyptologue, le théoricien et poéticien, le mvettologue, l’homme de théâtre, le philosophe et l’historien de la philosophie, le romancier, le conférencier de renom, le grand préfacier, et le méthodologue. On découvre ici l’historien tout court, et sûrement le politologue. Il faut le dire sans ambages : Grégoire Biyogo est notre Jacques Attali*1 , à une différence près : Biyogo n’appartient (encore) à aucune chapelle, et cette neutralité qui le singularise fondamentalement confère à son œuvre un regain d’objectivité et de sérénité. Rien ne le distrait de son attachement à la scientificité, à l’historicité, à la limpidité de la démonstration. Seule la scientificité est la grande bataille épistémologique et méthodologique de son œuvre. »
Le grand égyptologue camerounais Um Ndigi : « En dépit de son titre de Dictionnaire comparé égyptien- Fang Beti, cet ouvrage s’apparente à un véritable dictionnaire encyclopédique qui, outre l’étude des mots et des textes eux-mêmes, étend le domaine de la philologie classique bien au-delà, à leur contenu (langue, style, environnement historique et culturel). A ce titre, il constitue une contribution scientifique d’une envergure exceptionnelle, véritablement prométhéenne, qui concerne aussi bien le domaine de la philosophie, de l’égyptologie que des sciences humaines, en général. On peut parler d’un coup de fouet percutant à la nouvelle historiographie africaine consécutive au déchiffrement des hiéroglyphes par Jean-François Champollion dont l’apport, en termes de première grande révolution sur la langue de l’Égypte ancienne, est bien reconnu par l’auteur (cf. p. 526). Cet ouvrage apparaît à tous égards comme une retombée majeure et une concrétisation imposante et magistrale de l’une des recommandations du Colloque du Caire (de 1974) relative à la nécessité d’entreprendre des études de grande envergure pour établir toutes les corrélations possibles entre l’égyptien ancien (pharaonique et copte) et les autres langues africaines considérées comme les « cousins » de l’égyptien ancien, d’après les termes de Serge Sauneron. En effet, avec ce Dictionnaire de Grégoire Biyogo, nous disposons d’une défense et illustration percutante, pertinente et convaincante de la fécondité de la linguistique historique africaine, initiée (ou plutôt fondée) par Cheikh Anta Diop avec son ouvrage Parenté génétique de l’égyptien pharaonique et des langues négro-africaines publié en 1977.
[1] Diopien et continuateur du savant sénégalais Cheikh Anta Diop, spécialiste de Jacques Derrida, de Richard Rorty, de Tsira Ndong, Ndoutoume, auteur de quatre volumes consacrés à l’histoire de la philosophie africaine et d’un Traité de méthodologie, lecteur attentif de l’évènement politique moderne, son œuvre compte aujourd’hui plusieurs dizaines de titre qui se rattachent comme chez Jacques Attali au paradigme de la complexité et de l’asymétrie, dans lequel ses différents maîtres ont par ailleurs travaillé.
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III-ANNEXES

ANNEXE I

I. Egyptologie et philosophie égyptienne.
1- Aux sources égyptiennes du savoir, Vol. I. Généalogie et enjeux de la pensée de Cheikh Anta Diop, Paris, Héliopolis, 1998, Rééd. Menaibuc, 2000.
2- Aux sources égyptiennes du savoir, Vol. II. Système et anti-système, Cheikh Anta Diop et la destruction du Logos classique, Paris, 1998, Rééd. Menaibuc, 2000.
3- Origine égyptienne de la philosophie, Au-delà d’une amnésie philosophique : le Nil comme berceau universel de la philosophie, Paris, Ménaibuc, 2001.
4- Kémit anti-démocrate. Essai d’élucidation de l’énigme de la souveraineté en Afrique et dans le monde noir, Paris, Ménaibuc, 2001.
5- Le Buste de Zénon (l’Africain), ouvrage épuisé, Paris, Ménaibuc, 2001.
6- Manifeste pour lire autrement l’œuvre de Cheikh Anta Diop (1923-1986), Paris, L’Harmattan, 2007.
7- Bibliographie sélective et classificatoire des œuvres de la philosophie et de l’égyptologie africaines, Paris, L’Harmattan, 2011.
8-Dictionnaire comparé égyptien Fang-Beti, Imhotep, 2013.
II. Recherches sur le « mvett » et l’égyptologie.
9- L’Origine du Songo selon le Mvett, Libreville, ICAD, 1999.
10- Encyclopédie du Mvett, Tome I. Du Haut Nil en Afrique Centrale : Le rêve poétique et musical des Fang Anciens, Paris, Ciref-Icad, 2000, Rééd. Paris, Ménaibuc, 2002.
11- Encyclopédie du Mvett, Tome I. Du Haut Nil en Afrique Centrale : Le rêve poétique et musical des Fang Anciens, Paris, Ciref-Icad, 2000.
12- Adieu à Tsira Ndong Ndoutoume, Hommage à l’inventeur de la Raison graphique du Mvett, Paris, L’Harmattan, 2007.
III. Histoire de la philosophie, philosophie moderne et contemporaine.
13- Adieu à Jacques Derrida. Enjeux et perspectives de la déconstruction, Paris, L’Harmattan, 2005.
14/16- Histoire de la philosophie africaine, 3 volumes, épuisé, Paris, L’Harmattan, 2005.
17/20- Histoire de la philosophie africaine, 4 volumes, Paris, L’Harmattan, 2006.
IV. Méthodologie, épistémologie, poétique.
21- Traité de méthodologie et d’épistémologie de la recherche. Les Modèles quinaires, Paris, L’Harmattan, 2005.
22- Corpus des Corpus : Répertoire des auteurs et des livres du Gabon. Vol. I : Lettres, philosophie, Sciences Humaines, égyptologie, économie, droit, science politique, Paris, L’Harmattan, 2011.
23- Littérature et philosophie à l’épreuve de la Nouvelle théorie, L’Amitié impossible d’Orphée et de l’Oiseau de Minerve, Paris, L’Harmattan, 2008.
V. Politique
24- Kémit anti-démocrate. Essai d’élucidation de l’énigme de la souveraineté en Afrique et dans le monde noir, Paris, Ménaibuc, 2001.
25- Omar Bongo Ondimba l’insoumis ? Paris, L’Harmattan, 2008.
26- Déconstruire les Accords de coopération franco-français. Au-delà de l’interventionnisme politique militaire et économique, Paris, L’Harmattan, 2013.
VI. Ecriture
A- Trilogie romanesque
27- Orphée Négro, Paris, L’Harmattan, 2006.
28- Homo Viator, Paris, L’Harmattan, 2008.
29- La Terre promise, Paris, L’Harmattan, 2008.
B-5 Textes poétiques
30-35- Titre générique : Running Away, Paris, L’Harmattan, 2011.
36- Théâtre philosophique d’inspiration égyptienne : Les Hommes d’Ailleurs, Libreville, ICAD, 1996. Pièce jouée au Colloque International Cheikh Anta Diop de Dakar.
VII. Idées religieuses
37- Introduction à la Réforme de l’Eglise actuelle, Paris, L’Harmattan, 2008.
VIII. Publications communes (colloques)
38- Afrique : la Démocratie en question, Actes du colloque du CERGEP, Libreville, CERGEP, 2000.
39- La querelle Umberto Eco contre Richard Rorty, colloque international d’épistémologie, Ciref-ICAD, 1995.
40- Islam et littératures, Actes du Colloque de l’Université Paris XII, Paris, Silex, 1987.
41- Croire en l’homme. Mélanges offerts au professeur Georges Ngal à l’occasion de ses 70 ans, Paris, L’Harmattan, 2006. Mélanges que nous avons coordonnés après avoir organisé un Colloque International Ngal à l’Université de Libreville.
42- Colloque international Cheikh Anta Diop organisé à Dakar par l’Université Cheikh Anta Diop, à l’occasion des 10 ans de sa mort (1986-1996). Dakar, Université Cheikh Anta Diop, 1996.
43- Colloque sur la philosophie africaine, Paris Ciref-ICAD, 2011.
44-In Le Malaise gabonais, préface de Yves Copans, Harmattan, 2005.
45-In Unité et pluralité de la vérité. Mélanges en l’honneur du prof. Dr. Alphonse Ngindu Mushete, 2014.
IX- Dictionnaire
45- Dictionnaire comparé égyptien-fang Beti. De la coappartenance Kemit-ékang. L’Egypte et l’Afrique en quête de l’éternité. Paris, Imhotep, 2013.

ANNEXE II

PREFACES ET POSTFACES DE GREGOIRE BIYOGO
A-ESSAIS PHILOSOPHIQUES
1-Préface au texte de Cathérine Stoll-Simont, La Mise en Etre, poèmes ontologiques, Paris, L’Harmattan, 2005.
2-Préface au texte d’Auguy Makey, L’Homme, le sublime zéro, Paris, L’Harmattan, 2008.
3-Préface au texte de Léon Mbou Yembit de Biborat, L’Universalité des questions philosophiques, Paris, L’Harmattan, 2008.
4-Préface de l’ouvrage d’Yves Kounougous, La philosophie politique de WEB Du Bois, Paris, Ciref, 2011.
B-MVETT, EKANG.
5-Préface au texte de Daniel Assoumou Ndoutoumou, Du Mvett II, L’Orage : le processus de démocratisation raconté par un diseur de Mvett, Présentation de Tsira Ndong Ndoutoume, Paris, L’Harmattan, 1993.
6-Préface au texte de Laurent Minko Bengone, Comprendre autrement le Mvett, Paris, L’Harmattan, 2008.
7-Préface au texte de Cyriaque Simon-Pierre Akomo-Zoghe, Parlons fang, Culture et langue des Fang du Gabon, postface de Bonaventure Mvé-Ondo, Paris, L’Harmattan, 2010.
8-Préface au texte du texte Régis Ollomo Ella, Un Mvet d’Akué Obiang, Vol 1, Le Récit Abiê. Paris, L’Harmattan, 2011.
9-Préface du texte de Steeve Elvis Ella, Mvett Ekang et le projet Bikalik. Essai sur la condition humaine, postface de Bonaventure Mvé-Ondo, Paris, L’Harmattan, 2011.
C-ESSAIS (Droit, politique, économie)
10-Préface de l’ouvrage de Nicolas Agbohou, Le Franc CFA et l’Euro contre l’Afrique, postface de Jean Ziegler, Paris, Solidarité Mondiale, 1999.
11-Préface de l’ouvrage de Francis-Michel Mbadinga, Les Eglises de Réveil face à la crise de l’Etat en Afrique, Paris, L’Harmattan, 2005.
12-Préface de l’ouvrage collectif : Congo Brazzaville : Autopsie d’une crise politique chronique, Paris, L’Harmattan, 2005.
13-Préface de l’ouvrage de Jimmy Mapango, Le Monde a changé, Paris, L’Harmattan, 2011.
D-POESIE
14-Postface au recueil d’Elimane Kane, La Parole du Baobab, Paris, Acoria, 1999.
15-Préface au recueil de Pierre Ondounga Pépé, Le Crépuscule du silence, Paris, L’Harmattan, 2001.
16- Préface au recueil de Lucie Mba, Patrimoine, Maison Gabonaise du Livre, 2003.
17- Préface au recueil de Kanemouono, Cauris, Paris, 2004.
18- Préface au recueil de Catherine Stoll-Simon, La Mise en être, poèmes ontologique, Paris, L’Harmattan, 2005.
19- Préface au recueil de Lucie Mba, Patrimoine II, Poèmes en prose entrelacés, Paris, L’Harmattan, 2006.
20- Préface au recueil de Max-Médard d’Ozintoh, La Vie au fond du cœur, Biarritz, Atlantica, 2006.
21- Préface au recueil de Bellarmin Moutsinga, Equatoriales, Paris, L’Harmattan, 2006.
22- Préface au recueil d’Albert Ngou Ovono, Vague-à-l’âme, Paris, L’Harmattan, 2006.
23- Préface au recueil de Marie-Constance Zeng Ebome, Lignes d’horizon, poème négro-spiritual de mon âme, Paris, L’Harmattan, 2008.
24-Quatrième de couverture de Wilfried Idiata, L’Ecume des lendemains, préface de Bellarmin Moutsinga, 2006.
25- Préface au recueil de Bellarmin Moutsinga, Elégies crépusculaires, Paris, L’Harmattan, 2011.
26-Avant-Dire du recueil de Peter tephen Assaghle, Pandemonium, Imhotep, 2012.
E-SEMIOTIQUE
27-Préface au texte de Nza-Matéki, Contes et débats traditionnels chez les Punu, Libreville, Polypresse, 2002.
28-Préface au texte de Fortunat Obiang, Les Registres de la Modernité dans la littérature gabonaise (2vol), Paris, L’Harmattan, 2006.
29-Préface au texte de Nicolas Mba Zué, Missim ou la quête du Byere paternel, Paris, L’Harmattan, 2008.
30-Préface au texte d’Eric Dodo Bouguenza, Dictionnaire des gabonismes, Paris, L’Harmattan, 2008.
31-Préface au texte d’Eric Dodo Bouguenza, Pour un usage démocratique des langues du Gabon, Paris, L’Harmattan, 2008.
F-SCIENCE, TECHNOLOGIE
32-Préface du texte de Didier Ggaguidi, Mutations technologiques et scientifiques en Afrique sub-saharienne, Paris, L’Harmattan, 2010.
G-PANAFRICANISME, PHILOSOPHIE ET ECONOMIE POLITIQUE DE LA RENAISSANCE
33-Préface au livre de Kémi Seba, Supra-négritude, 2013.
34- Préface du texte de Kemi Seba, Black Nihilism, 2011.
35- Préface du texte de Mama Ndiade, Cheikh Anta Diop, le dernier pharaon, Rééd. 2014.
H-THEOLOGIE
36-Préface du texte de Kalamba Nsapo, Les Grands courants de la théologie du monde noir (Afrique et Diaspora), Paris, Imhotep, 2013.
37-Préface du texte du Révérend Docteur Alain Pascal Biteghe-Bi-Nzeng, Une Nouvelle Ere Humaine : La Vision Mebege Menpkam, Paris, Imhotep, 2013.
I-FINANCE
38-Préface du livre de Cédric Achille Mbeng Mezui, Transformer le Gabon, Imhotep, 2014.
NB- SOUS PRESSE (10 livres)
ANNEXE III : OUVRAGES ET TRAVAUX SUR L’AUTEUR
1-Dieng (Amady Aly), penseur marxiste, intellectuel sénégalais
-Lecture des 4 volumes de notre Histoire de la philosophie africaine, internet et revues.
2-Eyéné (Auguste), Directeur adjoint ICAD, philosophe gabonais, anthropologue, théoricien de la communication.
-In, L’Ecriture, l’Afrique et l’humanité, Paris, L’Harmattan, 2001.
-Lire et Relire « Omar Bongo Ondimba l’insoumis ? » de Grégoire Biyogo, Paris, L’Harmattan, 2001.
3-Koumba (Brice Lévy), poéticien gabonais, sadien et derridien.
-« Mvett et poétique. Réminiscence d’une lecture de L’encyclopédie du mvett de Grégoire Biyogo » in Critica, 31 juillet 2010.
-Lexique de Grégoire Biyogo, Paris, L’Harmattan, 2011.
4-Makaya (Auguy), philosophe congolais et gabonais, écrivain.
In, -Lire et Relire Grégoire Biyogo, Paris, L’Harmattan, 2001.
5-Mono-Ndjana (Hubert), historien de la philosophie camerounais.
-In « Histoire de la philosophie africaine », Paris, L’Harmattan, 2010.
6- Mvé-Bekale (Marc), afro-américaniste, essayiste et écrivain gabonais.
-« Aux sources égyptiennes du savoir de Grégoire Biyogo », in Gabon : la postcolonie en débat, Paris, L’Harmattan, 2003.
-« Orphée négro de Grégoire Biyogo », in http://obili.over-blog.com/article-orphee-negro-48717108.html, vendredi 16 avril 2010.
Namaiwa (Boubé ), épistémologue sénégalais.
-Lecture de : Aux sources égyptiennes du savoir », Vol. I, in Ethiopiques, n° 64.
7-Ngadi (Benjamin), philosophe gabonais, heideggérien.
In, L’Ecriture, l’Afrique et l’humanité, Paris, L’Harmattan, 2001.
8-Nzué (Paulin Carlos Mozer), philosophe gabonais, épistémologue.
-In Nouvelles perspectives épistémologiques autour de la pensée de Cheikh Anta Diop, Préface de Grégoire Biyogo, Paris, Ménaibuc, 2002.
9-Samb (Djibril), philosophe sénégalais, éminent platonicien,
-In Le Vocabulaire des philosophes africains, Paris, L’Harmattan, 2010.
10-Dr Tedanga Ipota Bembela (linguiste, théologien du Kongo démocratique).
-In Ressusciter le Dieu des Nègres, Paris, Ménaibuc, 2009.
MELANGES OFFERTS AU PR. GREGOIRE BIYOGO, Imhotep, 2014. Avec 23 contributions.

Date de dernière mise à jour : 31/01/2016

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